Un vent de panique s'abat sur l'économie

Dans le monde...

Message par meichler » 11 Août 2011, 18:35

Les convulsions continuent...

a écrit :Les Bourses européennes rebondissent à la clôture, dans le sillage de Wall Street

LEMONDE.FR avec AFP | 11.08.11 | 18h19  •  Mis à jour le 11.08.11 | 18h23


Les Bourses européennes retrouvaient une certaine stabilité :sygus: , jeudi après-midi, après l'annonce d'une rencontre, le 16 août prochain, entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. REUTERS/KACPER PEMPEL

Les Bourses européennes ont rebondi, jeudi 11 août, en clôture, après l'annonce d'une rencontre, le 16 août prochain, entre le président français, Nicolas Sarkozy, et la chancelière allemande, Angela Merkel, sur la crise de la dette publique en zone euro. M. Sarkozy recevra Mme Merkel pour évoquer la réforme de la gouvernance de la zone euro. Le couple franco-allemand, moteur de l'Union économique et monétaire, a "décidé de formuler des propositions communes concernant la réforme de la gouvernance de la zone euro avant la fin de l'été". Cette rencontre devrait être suivie d'une conférence de presse.

Les places financières, en quête d'une pause :rofl: , ont pour la plupart réagi positivement à cette annonce. Les investisseurs, jusque-là très fébriles et désorientés, se sont mis à moins liquider leurs actions.

Le CAC 40 en hausse. La Bourse de Paris est passé nettement dans le vert, jeudi 11 août, prenant 2,89 % dans une séance où l'indice parisien comme les valeurs bancaires jouaient au yo-yo. Le CAC 40 a pris 86,67 points pour finir au-dessus des 3 000 points, à 3 089,66 points. Le marché parisien a évolué en dents de scie depuis l'ouverture, tentant un rebond dans la matinée avant de fléchir de plus de 2 % puis de se reprendre, soutenu par la hausse de Wall Street dans les premiers échanges américains.

Les valeurs bancaires imitaient l'indice dans ses mouvements brusques, incapables de conserver durablement une direction, avant de se ressaisir en fin de séance. Du côté des banques, la Société générale a pris 3,70 % à 23 euros, après s'être effondrée la veille. Le Crédit agricole, autre victime mercredi, gagnait 5,14 % à 6,39 euros.



Rebond à Londres. L'indice Footsie-100 des principales valeurs de la Bourse de Londres a gagné 3,11 % à 5 162,83 points, suivant le rebond généralisé des places européennes dans le sillage de Wall Street, après avoir perdu près de 1,3 % en milieu de journée.

Francfort en hausse. L'indice DAX de la Bourse de Francfort est remonté après onze séances de baisse. Le DAX est grimpé de 3,28 % à 5 797,66 points après avoir joué aux montagnes russes. Le DAX reste toutefois encore très loin du niveau qu'il affichait lors de sa dernière hausse le 26 juillet, où il avait terminé à 7 349,5 points, soit un écart de plus de 21 % par rapport à la clôture de jeudi.

Milan monte en flèche. L'indice vedette de la Bourse de Milan, le FTSE Mib, a clôturé dans le vert en prenant 4,10 % à 15 277 points, récupérant du terrain après son effondrement de mercredi. STMicroelectronics, qui avait subi les plus lourdes pertes la veille, caracolait en tête, bondissant de 10,22 % à 4,80 euros.

Bond à Madrid. L'indice Ibex-35 de la Bourse de Madrid est passé dans le vert après une journée en dents de scie, grimpant de 3,56 % à 8 249,4 points, après une journée marquée par une très forte volatilité et huit séances consécutives de baisse. Toutes les valeurs ont terminé dans le vert, après une journée noire mercredi où la Bourse de Madrid avait perdu plus de 5 %.

Hausse à Wall Street. La Bourse de New York accroissait ses gains dans un marché amorçant un rebond après sa forte chute de la veille, emmenée par la convalescence du secteur bancaire. Vers 16 h 35, le Dow Jones Industrial Average prenait 2,25 % à 10 960,76 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 2,76 % à 2 446,84 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 avançait de 2,48 % à 1 148,56 points.

Le rebond à Wall Street était emmené par les valeurs bancaires après leur dégringolade. Bank of America reprenait 6,50 % à 7,21 dollars, JPMorgan Chase 3,93 % à 35,72 dollars, Citigroup 3,40 % à 29,46 dollars et Wells Fargo 4,11 % à 23,82 dollars. L'indice Bix des valeurs bancaires reprenait 3,31 % après avoir perdu près de 8,5 % la veille. Entre le 21 juillet et mercredi, il avait chuté de 23 %.



Timide rebond à Moscou. Les deux Bourses de Moscou ont clôturé en légère hausse après avoir chuté de près de 5 % dans l'après-midi, encouragées en fin de séance par la hausse de Wall Street et le rebond des places européennes. Le Micex a fini la séance sur une progression de 0,52 % à 1 438,91 points, et le RTS a gagné 0,47 % à 1 544,83 points. Il s'agit de leur première hausse après huit séances de baisse, au cours desquelles les places moscovites ont subi certaines des plus lourdes pertes parmi les marchés émergents, en raison de la forte dépendance de la Russie aux prix du pétrole.

Les Bourses asiatiques en légère hausse. En Asie, les investisseurs n'ont pas cédé à la panique. Tokyo a seulement perdu 0,63 %, Hongkong a baissé de 0,95 %, alors que Shanghai a clôturé en hausse de 1,27 % et que Sydney a fini à l'équilibre.


Amis de l'adrénaline financière, à demain...
«Ni rire ni pleurer, comprendre.»

(Baruch SPINOZA)
Avatar de l’utilisateur
meichler
 
Message(s) : 0
Inscription : 28 Oct 2006, 18:36

Message par Zorglub » 12 Août 2011, 16:47

a écrit :Apple a plus de cash que le gouvernement américain

par Orianne Vatin, le 29 juillet 2011 09:01

L'entreprise de Steve Jobs aurait plus d'argent dans ses caisses que l'Oncle Sam, selon les toutes dernières informations.

En effet, le Trésor américain a déclaré hier que le gouvernement disposait d'une réserve de cash de 73,8 milliards de dollars.

Le dernier rapport financier d'Apple indique lui que l'entreprise possédait 76,2 milliards de dollars à la fin du mois de juin. Ce qui signifie que la plus importante entreprise du monde en termes de capitalisation boursière dispose de plus de liquidités que le plus grand pays du monde !

Cela peut s'expliquer par le fait qu'Apple gagne beaucoup beaucoup plus d'argent qu'elle n'en dépense, contrairement au gouvernement des Etats-Unis au bord du défaut de paiement.

Brève L'informaticien
Zorglub
 
Message(s) : 1226
Inscription : 27 Fév 2009, 01:26

Message par meichler » 12 Août 2011, 21:33

Un exemple des folies et délires de la spéculation financière et boursière, en fait : le fonctionnement «normal» du système capitaliste à l'époque de la domination du capital financier...

a écrit :
La vente à découvert, une pratique risquée

LEMONDE.FR | 12.08.11 | 11h21  •  Mis à jour le 12.08.11 | 13h17



La Grèce les a interdites en début de semaine. La France, l'Italie, l'Espagne et la Belgique ont pris la même décision, jeudi 11 août dans la soirée : les ventes à découvert sont interdites pour les valeurs financières. En France, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a interdit cette technique sur les titres émis par les grandes banques et sociétés d'assurance, comme AXA, BNP Paribas SA, le Crédit agricole ou encore la Société générale.

PARI À LA BAISSE

Appelée "short selling" ou "shorting" en anglais, cette technique consiste à vendre un titre dont on anticipe la baisse. Et qu'on ne possède pas toujours, du moins pas encore au moment de la vente. Le vendeur s'engage en fait à fournir un titre à un certain prix à une certaine date, en faisant le pari que le cours de ce titre va baisser entretemps.

La vente à découvert peut être un emprunt : l'acheteur emprunte un titre en échange de la promesse de le rendre quelques jours plus tard au moment de la "liquidation". Il va ensuite le vendre, dans l'espoir que le cours baisse et qu'il puisse le racheter moins cher avant de le rendre à son prêteur. Lorsque la vente a découvert est gagée sur un emprunt de titre, elle peut en outre être reportée.

Elle peut aussi se pratiquer "à nu" : dans ce cas, l'acheteur n'emprunte rien : il se contente de vendre à terme des titres qu'il ne possède pas encore. Il parie alors sur la baisse du cours de ce titre, pour pouvoir l'acheter à moins cher que ce qu'il a promis de le vendre. Mais, pratiquée massivement, cette technique peut provoquer la baisse des cours que souhaitent les vendeurs.

UN MÉCANISME DANGEREUX

Ce mécanisme présente plusieurs dangers. Le premier étant que lors d'une vente à découvert, le vendeur n'est pas obligé de posséder l'argent pour acheter ce qu'il compte vendre. Contre paiement d'une commission dite "de règlement différé" (CRD), il pourra ne payer que cinq, dix voire vingt jours plus tard, à condition que les titres en question soient éligibles au SRD ("service du règlement différé"), ce qui est le cas de la plupart des grandes capitalisations boursières.

Ensuite, une vente à découvert peut également se faire sans posséder l'intégralité de l'argent pour l'achat des titres, ce qu'on nomme "effet de levier" : il suffit d'avoir de 20 % (pour les bons du Trésor) à 40 % (pour les actions) du montant total qu'on doit régler pour acheter, en faisant le pari que le gain obtenu va permettre de rentabiliser le tout. Pour le vendeur, un mauvais pari peut s'avérer catastrophique : s'il a utilisé l'"effet de levier" en anticipant une baisse qui n'a pas eu lieu, il risque de perdre très gros.

Les ventes à découvert peuvent également être confiées... à des ordinateurs. Cette pratique de "trading automatique" joue sur des écarts très resserrés dans le temps, et souvent à de larges échelles : un programme informatique est chargé de pratiquer la vente et le rachat très rapide de titres dès que ce dernier s'oriente à la baisse. S'il est trop massif, ce trading automatique présente le risque de "déformer" les cours en amplifiant les baisses. Autre accusation récurrente : l'alliance de ventes à découvert avec des "rumeurs de marché" lancées intentionnellement pour favoriser la baisse d'un titre.

UNE INTERDICTION CONTRE-PRODUCTIVE ?

Autant de pratiques qui rendent les ventes à découvert dangereuses. Pour autant, leur interdiction n'a pas toujours l'effet escompté. Au cœur de la crise financière, en septembre 2008, la France avait déjà interdit ce type de vente. Elles ont été rétablies en février 2011, et devaient être mieux encadrées.

D'autres pays, de l'Allemagne au Royaume-Uni, avaient pris des décisions similaires. Or, selon des études économiques réalisées par la suite, cette interdiction n'a qu'un effet limité. Et présente des risques : en limitant la spéculation à la baisse, elle maintient artificiellement le cours d'un titre et risque de provoquer sa sur-évaluation. Sans compter le signal qu'elles envoient aux opérateurs de marché, qui risquent d'en déduire que la situation est grave.


Samuel Laurent


[ Source : http://abonnes.lemonde.fr/economie/article...#ens_id=1216746 ]

Ce qu'il faut interdire c'est l'ensemble des tripatouillages boursiers et financiers. Fermeture des bourses et interdiction des transactions "libres" entre institutions financières !
«Ni rire ni pleurer, comprendre.»

(Baruch SPINOZA)
Avatar de l’utilisateur
meichler
 
Message(s) : 0
Inscription : 28 Oct 2006, 18:36

Message par meichler » 13 Août 2011, 19:04

Ceux qui tentent d'écoper le tsunami à la petite cuillère :


[ Sur le blog de George Ugeux, «banquier d'affaires», http://finance.blog.lemonde.fr/2011/08/13/...-pas-une-cause/ ]

a écrit :
13 août 2011

Société Générale : les ventes à découvert sont un symptôme, pas une cause


Comme d’habitude, les responsables politiques ont pointé du doigt d’autres responsables qu’eux-mêmes. Cette semaine, ce fut le cas des ventes à découvert qui sont maintenant interdites dans certains pays sur certaines actions bancaires.

En s’attaquant aux ventes à découvert et en les interdisant, les gouvernements belge et français se sont joints au groupe de l’Italie, l’Espagne et la Grèce (même l’Irlande et le Portugal n’en ont pas éprouvé le besoin). Première erreur de ces deux pays qui se sont rangés dans le camp des faibles.

Il est certain que le 10 aout a été une journée de délire collectif comme les marchés en ont le secret, et que les vendeurs à découvert se sont engouffrés dans la brèche de cette situation chaotique et en ont profité en dénouant en fin de journée leurs positions. Cela ne fait pas de ces acteurs des coupables.



Voyons de plus près le cas de la Société Générale. Comme le montre le graphique ci-dessous, elle a commencé à voir son action perdre de la valeur dés le mois de mars 2011, en raison de ses mauvais résultats et de ses amortissements de la dette grecque. Elle a perdu la moitié de sa capitalisation depuis son sommet de 52,1 €, début mars. Il s’agit d’une perte de près de 20 milliards d’euros.  Dans les dernières trois semaines, elle a vu son cours baisser de 30% avant même les évènements de la semaine dernière.

Les investisseurs ont également pénalisé les autres banques européennes, dans une moindre mesure. La Société Générale était particulièrement vulnérable.  La BNP Paribas a perdu 30%, et le  Crédit Agricole 40%, de leur capitalisation boursière. C’est le système bancaire français qui inquiète, malgré les pseudo-stress tests du mois denier.



Il ne s’agit pas ici de défendre les ventes à découvert : la Commission Européenne, en la personne de Michel Barnier, tente désespérément d’encadrer cette activité. La solution, même si elle est difficile à mettre en place, est de bannir purement et simplement les fonds d’investissement qui se spécialisent dans ces activités et n’ont donc comme objectif que de spéculer à la baisse. Ils n'ont aucune valeur sociale.

Je n’ai aucun problème à autoriser une gestionnaire de portefeuille à vendre à découvert jusqu'à 25 % de sa position sur un titre particulier qu'il détient en portefeuille. C’est une forme de couverture de risques légitime. Il y en a d'autres, comme les options et les "futures".

J’y ajouterais une interdiction de conclure des transactions à découvert « pures » ou « nues » comme on les dénomme. Ce sont des opérations dans lesquelles les opérateurs vendent avant d’avoir couvert leur transaction par un emprunt de titres. Cette technique permet à des operateurs sans capitaux de spéculer a la baisse.

Mais les vraies sources de ces transactions sont les investisseurs, en ce compris et au premier chef les banques, qui prêtent des titres à ceux qui effectuent ces opérations. Ces « prêts de titres » devraient être bannis tant pour les banques que pour les compagnies d’assurances, en raison de leur activité avec le public. Cela ne laisserait ces possibilités qu’à des hedge funds dont les moyens sont relativement faibles.

Attaquons le problème à la racine.

Ce qui s’est passé cette semaine a provoqué une réaction gouvernementale impulsive qui a inutilement rangé parmi  des pays « défensifs » la France et la Belgique. Cela les démarque des pays forts de l’Eurozone et dénote une gestion de panique. C’est surtout une action qui, comme l’Europe n’agit pas de concert, ne rencontre pas les inquiétudes des investisseurs et n’aura que des effets marginaux.


Au passage, on voit aussi le cas qu'il faut faire des fariboles sur la "rumeur" qui aurait été la cause de la chute de l'action Société Générale, alors que que c'est de la maladie générale de la société que cette banque est atteinte...
«Ni rire ni pleurer, comprendre.»

(Baruch SPINOZA)
Avatar de l’utilisateur
meichler
 
Message(s) : 0
Inscription : 28 Oct 2006, 18:36

Message par jedi69 » 14 Août 2011, 01:42

Wesh les amis !!!

Bien ou bien ?


Excellent article :

Soubresauts boursiers, crise de la dette : le capitalisme en faillite

sinon moi l'actualité m'avait inspiré ça :

a écrit :SPECULATION


Wall Street



SPECULATION sur tous les secteurs

économiques, vitaux de la société

C'est le capitalisme, 1 millier de milliardaires

Et plus de 10 millions de parasites millionnaires



SPECULATION pour la spéculation

C'est un casino la financiarisation

C'est le marché de la finance, sa putréfaction

Sa pourriture, et ça gangrène toute action



SPECULATION sur toutes les monnaies

Dollars, Yens, Euros en quelques secondes c'est fait

Ca passe par satellite, internet, c'est vite fait

A la vitesse de la lumière, est ce que tu le savais ?



SPECULATION, investissements financiers

Pas pour l'industrie du monde entier

Pas pour les services publiques du monde entier

Au contraire, c'est austérité, chômage et précarité



SPECULATION, SPECULATION

Wesh tu vois pourquoi je veux de révolution

Travailleuses, travailleurs prenons le pognon

A nous de faire notre mondialisation




SPECULATION sur l'immobilier

C'est le crise du « sub-primes », je sais que tu le sais

C'est des capitalistes contre des milliards d'exploités

Sur plus de 6 milliards, c'est ça l'Humanité



SPECULATION sur les produits alimentaires

C'est les émeutes de la faim sur toute la terre

C'est la malnutrition, la famine planétaire

C'est plus de 2 milliards de soeurs et de frères



SPECULATION sur les produits pétroliers

Provoque la grève générale des paysans et ouvriers

C'est l'Alliance contre l'exploitation des damnés

A Gwada, Martinique et même pour les Réunionnais !



SPECULATION sur les dettes des états

C'est la faillite en Islande, l'Angleterre se débat

C'est l'Europe des dégâts, la Grèce engraisse les bourgeois

C'est la baisse du niveau de vie et des suppressions d'emplois



SPECULATION, SPECULATION

Wesh tu vois pourquoi je veux de révolution

Travailleuses, travailleurs prenons le pognon

A nous de faire notre mondialisation




SPECULATION hausse des budgets militaires

Financement, progression des idées réactionnaires

Gangster, communautaire, replis identitaire

Corruption, terreur, guerre contre les prolétaires



SPECULATION sur les moyens de transports

Télécommunications, Facebook, Twitter

I-pod, I-phone plus cher que de l'or

Que tous les bling-bling de ton décor



SPECULATION à la baisse, à la hausse

Peu importe la situation en Grèce ou au Laos

Inflation, déflation, stressent, blessent aussi les gosses

Pas de cadeaux sans pognons c'est de la faute des boss



SPECULATION contre la satisfaction

De tous les besoins : travail & production

Les salaires, la santé et l'alimentation

Logements, habits, loisirs et l'éducation



SPECULATION, SPECULATION

Wesh tu vois pourquoi je veux de révolution

Travailleuses, travailleurs prenons le pognon

A nous de faire notre mondialisation






06 Juin 2010 - LALYHAINE


discussion sur fb :

(jedi69 a écrit :
a écrit :c trop négatif pour moi...vrai mais négatif!j veux pas etre milliardaire de toutes façon!


^^ la majorité de l’humanité sera obligée de contrôler ces milliards de la haute finance(donc t'es pas obligé ^^, mais on aura besoin de ton intelligence ^^), sinon ça va être de pire en pire pour nous ... c'est sûr c'est des milliards ... c'est pas une possession individuel, mais collective, c'est pas chacun pour soi est multi-milliardaire, mais tous ensemble nous sommes tous multi-milliardaires ^^ et puis le but c'est à terme, rapidement en fait, enterrer les milliards, les mettre au musée comme l'arc et la flèche préhistorique, comme la première machine à vapeur ... ^^



(jedi69 a écrit :
a écrit :L'argent pu le sang des innocents !!!!la fraternité apprendre a donner c pas si dur et eux par notre démarche ne pourrai que se torché avec leurs billet mais voila je réve !!!


c'est pourquoi les innocentes travailleuses unis du monde entier doivent s'emparer des milliards, les mettre en communs, les gérer collectivement ... tout ces milliards fait sur leurs dos, sur leurs sueurs, leurs sangs, elles doivent les contrôler elles mêmes ... c'est pas une fin, c'est juste un moyen pour satisfaire leurs besoin et arriver à l'abondance de richesse pour chaque être humain, on en a largement les capacités, on peut nourrir 2 fois l'Humanité par exemple ... ça veut dire qu'à terme l'argent on en aura plus besoin, on sera libre, érudit, fort, épanouis, émancipé ... ça sera de la vieille histoire l'argent ... au lieu de faire la guerre en quelques jours, on peut nourrir, habiller, loger, éduquer tout le monde peut être pas en quelques jours, mais très vite c'est sûr, il y a les avions hypersoniques, les satellites, internet etc, etc ... et le bouche à oreille, les bras, la matière grise de milliards d'êtres humains ...

a écrit :les milliard c nous biento les billets ne seront mm plus d'actu tou se passera en chiffre il faut chercher trés loin pour comprendre la nature mm de l'argent bréf ca pu


ça se passe déjà comme ça ... les milliards sont déjà électronique ... des cartes bancaires, des paiements internet, par I-phone ... mais l'écrasante majorité des milliards les travailleuses ne les contrôlent pas ... il faut se contrôle ... c'est vitale au vu de l'actualité ... famine, guerres, paupérisation ...

a écrit :que le monde de demain s'éveille au vrais valeurs de la race humaine dieu nous a doté d'un esprit recéptif pour voir l'homme détourné dans ces intéré s'acaparé et vendre l'illution que le mal est bien et inversement la jeunesse se perd tout passe par l'éducation on n'peu changer l'histoir qui a était écrite par les gagnant pour les perdants juste apprendre a écrire la notre pour nos décendants qui hériterons d'un monde poluer par l'argent causse des maux du monde !tou l'art de faire est acqui pour l'homme il a besoin d'apprendre le partage!


les perdants, les loosers, les travailleuses écrivent déjà leur histoire depuis que l'éducation s'est démocratisé, s'est popularisé. Alors c'est sûr quand on va dans une médiathèque il y a plus d'oeuvre des exploiteurs, les capitalistes, des classes dominantes passées, mais il y a aussi des livres, des films faits par des travailleuses, des révolutionnaires qui ont changé le monde, qui ont contribué à le faire progresser en profondeur ...

la fin de l'esclavage, de la colonisation ... c'est grâce à ces révolutions, ces guerres révolutionnaires qu'on en ai là aujourd'hui ... c'est sûr la lutte continue, il faut encore en apprendre, il faut encore s'éduquer en masse partout sur la planète, c'est pas finis ... mais qu'est ce qu'on fait là ? toi et moi ? on écris une petite partie de notre histoire, les traditions des exploités, des perdants, des loosers, des paysans, des ouvriers, des employés, des salariés ...

les partageux, les égalitaristes, les collectivistes, les socialistes, les communistes, les anarchistes ... sans les travailleurs tout ça n'existe pas, ce sont les travailleurs la base des progrès, des révolutions ... d'internet même, qui fabrique les ordinateurs ? ... ce sont eux qui devront contrôler, avoir le pouvoir sur l'argent virtuel et les quelques billets, la maitriser et en fin l'enterrer, la mettre dans les musées ... qu'on apprenne dans les écoles du futur qu'avant l'argent existait ... avant encore, pendant des millions d'années préhistorique il n'y avait pas d'agent ^^ l'histoire de l'argent ça sera une parenthèse de l'histoire, de la préhistoire de l'humanité ... ^^



A+
jedi69
 
Message(s) : 3
Inscription : 04 Avr 2006, 19:15

Message par meichler » 18 Août 2011, 19:59

[ Source : http://abonnes.lemonde.fr/economie/article...#ens_id=1268560 ]

a écrit :Les Bourses européennes s'effondrent

LEMONDE.FR avec AFP | 18.08.11 | 12h03  •  Mis à jour le 18.08.11 | 18h55

Les Bourses européennes se sont effondrées, jeudi 18 août, affolées par les signes toujours plus évidents d'un ralentissement de l'économie mondiale, tandis que le secteur bancaire plongeait, victime de vives inquiétudes sur sa capacité à se financer. A la clôture, le CAC 40 lâchait 5,48 %, perdant 178,3 points à 3 076,04 points dans un volume d'échanges de 4,586 milliards d'euros.

Les autres places européennes ont aussi dégringolé, Francfort clôturant sur une baisse vertigineuse de 5,82 %, Milan de 6,15 %, Madrid de 4,7 %, Londres de 4,49 %, Berne de 4,15 % et Athènes, qui reflète l'économie la plus fragile de la zone euro, 3,38 %.

En Allemagne, l'indice DAX a connu sa plus forte chute journalière depuis 2008. En cause, des ventes massives de contrats à terme dont les causes restent incertaines. "Une banque française a dit que peut-être une erreur de manipulation était en cause, mais sans donner de détails", a indiqué Markus Huber, opérateur chez ETX Capital, en utilisant le terme de jargon boursier "fat finger" ("gros doigt"). Cette expression désigne une faute de frappe d'un courtier qui le conduit à passer un ordre plus important que ce qu'il aurait souhaité.

MAUVAISES PERSPECTIVES AMÉRICAINES

Mais les places boursières ont surtout été plombées par les mauvaises perspectives économiques américaines. Outre-Atlantique, les ventes de logements anciens ont en effet rechuté lourdement en juillet et l'activité manufacturière de la région de Philadelphie s'est effondrée au mois d'août. Sur le front de l'emploi, les nouvelles inscriptions au chômage sont reparties à la hausse au cours de la deuxième semaine d'août. Ces mauvaises nouvelles se sont ajoutées à la note des analystes de la banque Morgan Stanley qui ne tablent plus que sur une croissance de 3,9 % dans le monde en 2011 (+ 4,2 % auparavant) et 3,8 % en 2012 (+ 4,5 % auparavant).

A New York, Wall Street accusait également le coup : le Dow Jones perdait 3,63 % et le Nasdaq 4,29 % à la mi-séance. Mercredi, Wall Street avait fini sans direction claire, au terme d'une séance hésitante marquée par la faiblesse du secteur technologique après les résultats du groupe informatique Dell. Le Dow Jones avait grignoté 0,04 % et le S&P 500 0,09 % mais le Nasdaq avait perdu 0,47 %.


LE SECTEUR BANCAIRE S'ENFONCE, SOCGEN EN TTE


Les banques continuaient quant à elles de souffrir des craintes persistantes liées à la crise de la dette en zone euro, crise que le sommet franco-allemand de mardi n'a pas suffi à apaiser. Le projet de taxation des transactions financières en Europe défendu par la France et l'Allemagne lors de ce sommet pourrait peser lourdement sur l'activité du secteur.

Dans ce contexte tendu, les valeurs bancaires ont souffert en outre des inquiétudes de la Réserve fédérale américaine sur les liquidités des banques européennes et des rumeurs persistantes sur leur fragilité supposée. A Paris, le titre de la Société générale a lâché 12,34 % en clôture, Crédit agricole 7,29 % et BNP Paribas 6,76 %.

LE PÉTROLE CHUTE LOURDEMENT


Les prix du pétrole chutaient eux aussi lourdement à l'unisson avec les Bourses en déroute. Vers 18 heures, le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en octobre s'échangeait à 107,75 dollars sur l'Intercontinental Exchange de Londres, en baisse de 2,85 dollars par rapport à la clôture de mercredi. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" pour livraison en septembre perdait 3,84 dollars, à 83,74 dollars.

Enfin, sur le marché des changes, l'euro baissait toujours face au dollar. Peu après 18 h 30, il valait 1,431 8 dollar contre 1,442 8 dollar mercredi à 23 heures. L'or, valeur refuge par excellence, a enregistré un nouveau record en passant au-dessus des 1 816 dollars l'once.
«Ni rire ni pleurer, comprendre.»

(Baruch SPINOZA)
Avatar de l’utilisateur
meichler
 
Message(s) : 0
Inscription : 28 Oct 2006, 18:36

Message par Groza » 19 Août 2011, 10:43

a écrit :Les Bourses européennes à la baisse, le CAC 40 sous la barre des 3 000 points
LEMONDE.FR avec AFP | 19.08.11 | 09h23  •  Mis à jour le 19.08.11 | 11h18


Les Bourses européennes ont ouvert en légère baisse, vendredi 19 août, avant de chuter lourdement au cours de la matinée. Les craintes d'une récession aux Etats-Unis et d'un manque de liquidités des banques européennes effraient les investisseurs. A Paris, la Bourse a ouvert en baisse de 0,37 % avant de passer sous la barre symbolique des 3 000 points dans la matinée.


La Bourse de Londres reculait, elle aussi, au lendemain de sa plus forte chute depuis trois ans (4,49 %) : quelques minutes après l'ouverture, l'indice Footsie perdait 0,85 % avant de s'enfoncer sous la barre des 5 000 points. A Madrid, la Bourse a ouvert en baisse de 1,09 %, à 8 226,8 points, suivant les autres places européennes. L'ensemble des places financières asiatiques avaient déjà dévissé dans la nuit. Le mini-sommet franco-allemand de mardi et ses propositions pour la gouvernance de l'Europe n'ont visiblement pas convaincus les investisseurs.

DOUTES SUR LES BANQUES EUROPÉENNES

A Paris, les valeurs bancaires ont été particulièrement touchées par la chute des cours. "Les bears [intervenants pessimistes] sont revenus en force cette nuit, après des indicateurs économiques américains très décevants et le regain de craintes sur la stabilité des banques européennes, qui ont poussé les investisseurs à appuyer sur le bouton des ventes, a résumé Ben Potter, analyste chez IG Market. Il semble qu'on se prépare pour une fin de semaine très moche, avec un marché dominé une fois de plus par la panique."

Les banques européennes sont dans le viseur des investisseurs en raison de nouvelles rumeurs sur leur manque de liquidités. Dans son édition de jeudi, le Wall Street Journal a fait état de craintes de la Réserve fédérale américaine sur le niveau de liquidités des banques européennes. Et, pour la première fois depuis février, la BCE a accordé un important prêt en dollars, d'un montant de 500 millions au taux d'intérêt fixe de 1,1 %, à une banque européenne dont l'identité n'a pas été révélée.

L'or noir en baisse... Le pétrole évoluait, lui aussi, en nette baisse, déprimé par la mollesse de l'économie des Etats-Unis, premier consommateur mondial. Dans les échanges matinaux en Asie, le baril de light sweet crude perdait 1,69 dollar, à 80,69 dollars, tandis que celui du brent de la mer du Nord cédait 68 cents, à 106,31 dollars.

... et l'or explose. Dans ce contexte d'extrême inquiétude, l'or continue de franchir des records à la hausse, jouant pleinement son rôle de valeur refuge. Le métal précieux a atteint, vendredi matin à Hongkong, 1 867,95 dollars l'once, dépassant le seuil inédit des 1 860 dollars. Il avait passé le seuil de 1 825 dollars la veille, et celui des 1 800 dollars le 11 août.

"Nous sommes de ceux [...] qui ne desserreront jamais les mâchoires sauf pour sortir les crocs"
Groza
 
Message(s) : 8
Inscription : 20 Mars 2008, 21:40
Localisation : Région Parisienne

Message par Doctor No » 03 Sep 2011, 08:03

Et c'est reparti pour la Grèce!

Non seulement les "plans" ne marchent pas mais ils appauvrissent encore les grecs tout en creusant les déficits (Rien de bien étonnant pour un sud-américain habitué aux "plans" du FMI...)

Il parait même qu'il se sont vu obligés de décamper à toute vitesse, les "experts"...

a écrit :La crise économique et sociale s'aggrave en Grèce

Mots clés : crise, dette, GRÈCE
Par Alexia Kefalas Publié le 02/09/2011 à 19:52 Réactions (83)
Vendredi, les station de métro sont restées fermées à Athènes, en raison d'une grève de 24 heures. Les autorités craignent désormais d'avoir du mal à contenir la colère des Grecs.

La récession sera de 5% en 2011, plus grave que prévu, ce qui entraînera une envolée du déficit public à 8,8% du PIB. Les experts du FMI, de la BCE et de la Commission ont précipitamment quitté Athènes vendredi.

La crise de la dette grecque tourne au psychodrame et à la tragédie. Mardi soir, une commission d'experts du Parlement révélait dans un rapport officiel que l'endettement du pays était «hors de contrôle». Le lendemain, démentis et critiques fusaient, Evangelos Venizélos, le ministre des Finances, ne mâchant pas ses mots, affirmant que ces experts-comptables ne disposaient «ni des connaissances, ni de l'expérience, ni de la responsabilité nécessaire pour juger de la dette»; quelques heures plus tard, la directrice de la commission parlementaire incriminée démissionnait.
Effondrement de la Bourse

Vendredi, un degré supplémentaire a été franchi avec l'annonce surprise de la suspension, pendant dix jours, de la mission engagée en début de semaine à Athènes par les experts de la troïka (Union européenne, BCE et et Fonds monétaire international). Ce départ précipité a provoqué un tollé dans le pays et la Bourse s'est effondrée dès l'ouverture, entraînant les places financières européennes dans son sillage. Le ministre des Finances a tenté de minimiser l'événement: «Il n'y a pas eu de rupture des discussions entre le pays et la troïka», a-t-il assuré. Mais Evangelos Venizélos n'a pas réussi à convaincre, d'autant qu'il a admis, dans la foulée, que «la Grèce ne tiendra pas ses objectifs de réduction du déficit public en 2011 en raison de l'aggravation de la récession dans le pays». Le PIB devrait reculer d'au moins 5% cette année, prévoit désormais le gouvernement, ce qui le conduit mécaniquement à prévoir un déficit de 8,8% du PIB fin 2011, contre une précédente estimation de 7,4%.

C'est un fait, près d'un an et demi après la mise en place du premier plan de rigueur, la Grèce est à nouveau au pied du mur. Les mesures d'austérité ont engendré une forte récession et plombé la croissance, la compétitivité et la production. Le taux de chômage a atteint les 16,6% le mois dernier. «La commission parlementaire avait raison. La dette est vraiment hors de contrôle parce qu'elle ne cesse d'augmenter et continuera sa croissance», analyse Stefanos Manos, ancien ministre des Finances. «Il est désolant de voir que le gouvernement n'a rien fait depuis plusieurs mois. Aucune réforme du système étatique, aucune privatisation, mais seulement l'imposition de taxes et des coupes sur les salaires ! Il y a plus de dépenses publiques qu'en 2009, soit avant la crise, souligne-t-il. Cette fois, il y a urgence, la faillite nous pend au nez. Les dirigeants internationaux doivent taper du pied. Ils devraient refuser d'accorder la sixième tranche du prêt des 110 milliards d'euros accordé à la Grèce si ces mesures ne sont pas appliquées.» C'est probablement le sens du départ de la troïka, qui veut par ce geste spectaculaire mettre la pression sur le gouvernement.

Mais ce jeu de poker menteur lasse les Grecs qui subissent de plein fouet l'austérité. Dernière mesure marquante, l'augmentation de la TVA dans la restauration de 13 à 23%. «Un pas de trop , selon Giorgos Delastik, analyste politique. Les Grecs sont épuisés. Ils pensent surtout que le plan de rigueur appliqué n'est pas la bonne solution pour sauver leur pays de la crise, tout comme pour l'Irlande et le Portugal».

Les grèves et manifestations ne se sont pas fait attendre. Après le métro d'Athènes et le personnel enseignant, les indignés appellent à une grande mobilisation ce soir devant le Parlement. Pour Ilias Iliopoulos, secrétaire général du syndicat des fonctionnaires, les Grecs jouent leur va-tout. «On est au bord d'une explosion sociale», affirme-t-il. «En 2010, pour que le déficit soit réduit de cinq points, les Grecs ont dû faire d'énormes sacrifices. Aujourd'hui, ils ne peuvent plus accepter d'autres mesures ou de nouvelles coupes sur les salaires». Pourtant, la troïka demande 2,5 milliards d'économies d'ici à la fin de l'année. Les autorités craignent désormais d'avoir du mal à contenir la colère des Grecs, qui s'est radicalisée après la pause estivale.


Bravo!
Et qui peut croire maintenant aux "plans" d'un Fillon et de leurs lèche-culs, les socialistes?
"Ca ira, ça ira, les banquiers (et ses "experts") à la lanterne!" Voila tout le mot d'ordre dont on a besoin aujourd'hui.
Doctor No
 
Message(s) : 467
Inscription : 24 Mai 2011, 14:40

Message par logan » 03 Sep 2011, 13:41

L'hypocrisie majeure c'ets d'aligner les plans d'austérité les uns à la suite des autres pour que "la Grèce puisse rembourser sa dette"... alors que les financiers et politiques du monde entier savent que la dette grecque n'est plus remboursable, et la Grece va vers le défaut quoi qu'il arrive (d'ailleurs le defaut est déjà là en partie)
logan
 
Message(s) : 440
Inscription : 23 Fév 2004, 13:47

Message par Sinoue » 06 Sep 2011, 19:23

Parfait! Ca a l'air parti pour une bonne récession, ça va faire plaisir aux décroissants

:248:
Sinoue
 
Message(s) : 153
Inscription : 25 Déc 2008, 13:10

PrécédentSuivant

Retour vers Actualités internationales

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 13 invité(s)