(yahoo.fr a écrit :
Le CAC 40 subit sa plus forte chute (-6,83%) depuis le 11 septembre 2001
lun 21 jan, 17h46
PARIS (AFP)
La Bourse de Paris a clôturé lundi en baisse de 6,83%, sa plus forte chute en une seule séance depuis le 11 septembre 2001, victime comme les autres places européennes des craintes de récession aux Etats-Unis.
Le CAC 40 (Paris: actualité) , indice vedette de la place parisienne, a lâché 347,95 points à 4.744,45 points, enfonçant successivement les seuils de 5.000, 4.900 et 4.800 points.
Le volume d'échanges a battu son record historique, dépassant pour la première fois les 13 milliards d'euros, malgré la fermeture des marchés américains en raison du Martin Luther King Day.
La Bourse de Paris a dévissé dès l'ouverture, dans le sillage des marchés asiatiques, accentuant sa baisse au fil de la séance alors que le mouvement de panique gagnait tous les secteurs --aussi bien les valeurs financières que l'énergie ou la santé, traditionnels "refuges" en période de crise.
a écrit :Chute des Bourses: l'Europe cherche à rassurer
Par Sophie LAUBIE
lun 21 jan, 17h26
BRUXELLES (AFP)
Les responsables européens ont cherché à rassurer lundi sur l'état de santé de leurs économies, après le plongeon dans la journée des Bourses mondiales, tout en laissant percer une inquiétude grandissante face au ralentissement aux Etats-Unis.
"Il semble que les marchés envisagent la possibilité d'un ralentissement plus prononcé" qu'attendu de la croissance aux Etats-Unis, "peut-être même d'une récession", a déclaré à Bruxelles à la presse le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires Joaquin Almunia.
Le ministre slovène des Finances, Andrej Bajuk, le 21 avril 2007 à Berlin
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"J'espère qu'ils vont aussi prêter attention aux informations sur l'économie réelle, en particulier en Europe, et qu'ils vont retrouver leur calme", a-t-il ajouté, avant une réunion des ministres des Finances de la zone euro (forum de l'Eurogroupe).
Les Bourses européennes et asiatiques ont lourdement plongé lundi, les investisseurs se montrant déçus par le plan de relance de 140 milliards de dollars proposé vendredi par le président américain George W. Bush, insuffisant à leur yeux pour redresser l'économie des Etats-Unis.
"J'espère que les mesures de l'administration américaine" et celles que pourrait prendre la banque centrale américaine "pourront contrer ces risques", a dit M. Almunia.
Outre le plan de baisses d'impôts annoncé par le président américain, qui ambitionne de faire repartir la consommation des ménages principalement, la Réserve fédérale a laissé entendre qu'elle pourrait bientôt baisser ses taux d'intérêt en vue de soutenir une activité fléchissante.
M. Almunia a estimé que "les fondamentaux économiques de nos économies (en Europe, ndlr) sont sains" et jugé qu'elles étaient "moins dépendantes de l'économie américaine que par le passé", même si la crise financière pourrait les "affecter".
Il n'empêche que la persistance de cette crise freine aussi l'activité en Europe.
"Nous sommes tous inquiets" au sujet de l'impact sur l'Europe, "nous suivons les événements de manière quotidienne et espérons que la situation n'est pas aussi mauvaise qu'elle en a l'air", a déclaré le ministre slovène des Finances, Andrej Bajuk, dont le pays préside l'Union européenne.
Le ministre espagnol des Finances, Pedro Solbes, a également fait état de perspectives conjoncturelles "moins bonnes que ce que nous attendions" aux Etats-Unis, tout en invitant à ne pas donner une importance "excessive" à la glissade du jour sur les marchés boursiers.
La Commission européenne a depuis plusieurs semaines préparé le terrain à une révision en baisse de sa prévision de croissance pour la zone euro cette année, qui est actuellement de 2,2%.
Le gouvernement espagnol, confronté à un essoufflement du marché immobilier, vient d'abaisser sa propre prévision de croissance pour 2008 à 3,1% contre 3,3% auparavant, à cause de la crise financière mondiale.
La France vient elle de reconnaître que la croissance nationale serait plus proche de 2% que de 2,5%. Et le gouvernement allemand doit dévoiler mercredi un nouveau pronostic pour cette année, qui devrait selon la presse être de 1,7%. Soit un net coup de frein après les 2,5% enregistrés en 2007.
La crise financière va avoir "des conséquences" sur l'économie allemande, mais celle-ci va continuer à croître, a indiqué lundi le porte-parole du gouvernement allemand Ulrich Wilhelm.
"La zone euro se trouve toujours dans une phase de croissance, même avec des données négatives", a déclaré M. Wilhelm, ajoutant: "Nous ne sommes pas dans une situation comparable" à celle des Etats-Unis, qui risquent la récession.
a écrit : BOURSE/Paris: les dix plus fortes baisses du CAC 40 depuis sa création en 1988
Paris (AWP/AFX) - La Bourse de Paris, qui dégringolait lundi de plus de 5% dans l'après-midi, a déjà enregistré des chutes spectaculaires. Voici les dix plus fortes baisses de l'indice parisien en clôture depuis son lancement en 1988.
1. 11 septembre 2001 (-7,39%):
attentats suicides visant New York et Washington.
2. 19 août 1991 (-7,29%):
éviction de Mikhaïl Gorbatchev à la tête de l'Union soviétique
par des tenants de la «ligne dure» au sein du Parti communiste.
3. 16 octobre 1989 (-6,29%):
abandon du rachat de l'américain United Airlines par son personnel,
sur fond de crise des «junk bonds» (obligations à haut risque).
4. 30 septembre 2002 (-5,87%):
avalanche de mauvaises nouvelles venues des sociétés cotées.
5. 24 mars 2003 (-5,67%):
craintes d'enlisement de l'offensive anglo-américaine en Irak.
6. 17 septembre 1998 (-5,47%):
crise en Russie et en Asie, très fortes pertes du fonds américain
Long Term Capital Management (LTCM),
et «krach» d'Alcatel, dont l'action perd 38,4%.
7. 15 juillet 2002 (-5,40%):
faillite de l'opérateur de télécommunications WorldCom aux Etats-Unis,
la plus grosse de l'histoire du pays.
Le 19 juillet, le CAC 40 perd de nouveau 5,40%, puis 5,25% le 22.
8. 6 août 1990 (-5,12%):
embargo imposé par les puissances occidentales sur le pétrole irakien
et koweitien, quatre jours après l'invasion du Koweit par l'Irak.
9. 1er août 2002 (-5,11%):
publication d'un indice de confiance des industriels
en fort recul aux Etats-Unis.
10. 1er octobre 1998 (-5,00%):
prévisions pessimistes sur la croissance du fonds monétaire international
et crise du fonds LTCM.
a écrit :Nouveau recul des marchés financiers en Asie
Par Louise Heavens Reuters - 22/01/2008
SINGAPOUR (Reuters) -
Les Bourses asiatiques ont connu une nouvelle journée noire mardi, les investisseurs étant pris de panique au vu des possibles conséquences d'une récession aux Etats-Unis sur l'activité économique mondiale.
A Tokyo, principale place de la région, l'indice Nikkei a fini en baisse de 5,65%, son recul le plus marqué en pourcentage depuis la séance après les attentats du 11 septembre 2001. L'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong accusait une baisse de près de 8% en fin de séance.
Les échanges à la Bourse de Bombay ont dû être suspendus pendant une heure peu après l'ouverture après le plongeon de plus de 11% de l'indice Sensex dès les premières transactions. Le marché australien a pour sa part la pire séance de son histoire, avec une baisse de 7% de l'indice S&P/ASX 200.
La baisse a également concerné les métaux industriels, comme le zinc ou le cuivre, et le pétrole, dont la demande pourrait refluer si l'activité de la première économie de la planète ralentit. Vers 6h25 GMT, le baril de Brent à Londres perdait 59 cents à 86,92 dollars. Le brut léger américain cédait 2,8% à 87,40 dollars.
"Ça ressemble à des funérailles. Nul ne sait ce qui va se passer ce soir à New York. C'est comme si nous devenions aveugles, comme si nous étions incapables de savoir ce qui est en train d'arriver", a dit Ken Masura, de la société japonaise Shinko Securites.
Le milliardaire George Soros a estimé que le monde était confronté à la pire crise financière depuis le Deuxième guerre mondiale. "Nous sommes vraiment dans une grave crise financière maintenant", déclare-t-il dans les colonnes du quotidien autrichien Standard. Plus de détails
QUE VA FAIRE WALL STREET ?
En Corée du Sud, la Bourse de Séoul a terminé en baisse de 4,4%, sa plus lourde perte en une séance depuis six mois. Le géant Samsung, dont l'activité dépend beaucoup des exportations, a reculé de 5%. En Thaïlande, l'indice phare a terminé la séance du matin en recul de 4,45%.
A Taiwan, le marché a perdu 6,5% et a subi sa plus importante baisse journalière depuis près de quatre ans. En Chine continentale, l'indice de la Bourse de Shanghai, perdait plus de 7% juste avant la clôture.
L'indice phare de la Bourse de Karachi reculait de 1,76%, celui de la Bourse indonésienne a fini la matinée en recul de 9%, ce qui a conduit les régulateurs à mettre en garde contre une possible suspension de la cotation si jamais le marché passait en-dessous d'un certain seuil.
Lundi, les Bourses européennes ont signé leur plus forte baisse en une seule séance depuis les attentats du 11 septembre 2001 et clôturé à leur niveau le plus bas depuis un an et demi. Les places asiatiques ont aussi été prises dans la tempête. Les marchés américains étaient en revanche fermés en souvenir de Martin Luther King.
"Si Wall Street chute encore aujourd'hui (mardi), et si le gouvernement américain ne trouve pas une sorte de réponse politique, il nous faudra accepter de nouvelles chutes à venir", a dit Takashi Ushio, de Marusan Securities. "Il faut que les Américains agissent de façon spectaculaire."
Le plan de relance présenté par George Bush vendredi n'a pas suffi à rassurer les marchés et les investisseurs redoutent les retombées mondiales d'une récession aux Etats-Unis jugée de plus en plus probable.
A Myrtle Beach, en Caroline du Sud, où ils débattaient devant les caméras de CNN, les candidats à l'investiture démocrate pour la présidentielle de novembre ont dit leur inquiétude d'une récession et ont jugé inadéquat le plan de soutien esquissé vendredi par Bush pour un montant de quelque 145 milliards de dollars.
"Le plan de soutien proposé par le président n'est pas adéquat", a dit Hillary Clinton. "C'est trop peu, trop tard et cela ne donne pas suffisamment d'argent aux gens les plus touchés par la hausse des prix de l'énergie et l'inflation du reste."
Version française Henri-Pierre André et Benoît Van Overstraeten
a écrit :
ÉDITORIAL PAR JEAN-MARC VITTORI
Les digues cèdent sur la planète finance
Lundi noir De Paris à Tokyo en passant par Bombay et Sao Paulo, toutes les grandes places internationales ont dégringolé, avec des chutes dépassant souvent les 7% ? une ampleur sans précédent depuis le 11 septembre 2001.
Toutes sauf New York…qui était fermée pour cause de commémoration de la naissance deMartin Luther King. « J’ai fait un cauchemar », ont dû se dire nombre de traders et de banquiers en se réveillant ce matin.
Mais ce qui frappe dans le krach d’hier n’est pas tant son caractère onirique que l’avancée apparemment inexorable d’une crise financière, qui pourrait être la plus grande depuis les années 1930.
Les unes après les autres, les digues cèdent.
- Faillite de New Century Financial, l’un des grands acteurs du prêt immobilier « subprime » aux Américains les plus fragiles, en avril dernier ? il y a déjà près de dix mois.
- Fermeture de deux fonds de la banque Bear Stearns en juin.
- Effondrement de la banque allemande IKB en juillet.
- Crise majeure de liquidité en août.
- Menace d’étranglement du crédit…
A chaque fois, les experts expliquaient que tout était étanche. Que la digue qui venait de céder n’aurait aucune conséquence sur le système. Que les provisions étaient les dernières. Que les politiques avaient la situation en mains.
Les acteurs de la planète financière ouvrent maintenant les yeux sur une réalité infiniment moins rassurante, d’où la panique d’hier. D’abord, le pouvoir politique semble dépassé. Aux Etats-Unis, les baisses de taux d’intérêt ont à peine fait diminuer le coût du crédit. Le plan Bush de relance déçoit parce qu’il ne comprend aucune mesure agissant directement sur la crise immobilière. En Europe, la Banque
centrale européenne a mené une politique audacieuse de liquidités aux effets apparemment limités, et commence à peine à tempérer son optimisme sur la conjoncture. Et les comptes budgétaires sont plus dégradés que de l’autre côté de
l’Atlantique.
Ensuite, rien n’est étanche. Au contraire,tout se répand dans des marchés
financiers mondiaux interconnectés, même si cela prend du temps.
La crise du « subprime » se répercute sur le marché immobilier « prime » des Américains mieux lotis.
Elle gagne aussi toute la filière du crédit immobilier.
Les banques ont dû rentrer par la fenêtre des risques qu’elles croyaient avoir mis
à la porte par les miraclesde la finance moderne, d’où des provisions massives.
La digue des rehausseurs de crédit, qui garantissait plus de 2.000 milliards de
dollars d’obligations, cède à son tour.
Les banques vont devoir faire des provisions encore plus massives. Enfin, la crise se diffuse dans d’autres métiers, dans d’autres régions. Des banques allemandes ont révélé des pertes plus lourdes que prévu. La société française de gestion de portefeuille Richelieu Finance cherche à s’adosser à un groupe bancaire pour rassurer ses clients. Des rumeurs circulaient hier sur un gros trou dans les comptes de Bank of China.
Jusqu’à présent, la sophistication des marchés financiers avait jeté un voile sur l’ampleur des risques. Ce voile commence à peine à se lever.
a écrit :
Les banques françaises dans l'oeil du cyclone
[ 22/01/08 ]
Les cours de BNP Paribas, Crédit Agricole, Dexia et Société Générale ont sévèrement chuté hier. Les investisseurs craignent de nouvelles dépréciations d'actifs et, le cas échéant, des appels au marché.
Lundi noir pour les banques françaises. Les cours de BNP Paribas (- 9,63 %), Crédit Agricole SA (- 9,02 %), Dexia (- 8,06 %) et Société Générale (- 7,99 %) ont sévèrement dégringolé hier, à l'instar de l'ensemble du secteur bancaire européen. Ayant déjà lourdement chuté vendredi, ils sont renvoyés aux niveaux de... l'été 2005.
« Les déclarations de Christian Noyer, le déclassement du rehausseur de crédit Ambac, la crainte de prochaines dépréciations d'actifs, le spectre d'une récession aux Etats-Unis... Ce sont tous ces éléments à la fois qui pèsent sur les banques françaises, explique Jean-Pierre-Lambert, analyste chez KBW. Les marchés ont le sentiment que le secteur bancaire, en général, n'a pas adapté la présentation de ses comptes au nouvel environnement de titrisation. »
Dans un entretien à l'« International Herald Tribune », le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, se voulait pourtant rassurant. Il a dit ne pas s'attendre à de « gros chocs » pour les banques françaises, alors que plusieurs de leurs homologues américaines viennent d'annoncer des pertes massives pour le quatrième trimestre 2007. ( :huh1: )
Christian Noyer, qui préside aussi la Commission bancaire, l'organe de surveillance des banques, s'est déclaré « raisonnablement confiant que les banques françaises traverseront ces turbulences sans problèmes majeurs », tout en ajoutant que celles-ci sont « encore clairement, comme toutes les banques dans le monde, dans le processus de dépréciation de leurs actifs ». Dans le climat de méfiance actuelle, et à environ un mois de la publication des résultats annuels, les investisseurs n'ont retenu que la deuxième partie du message. ( :whistling_notes: )
« Qui est exposé ? »
La dégradation de la note d'Ambac, le deuxième rehausseur de crédit américain, par l'agence de notation Fitch, dans la nuit de vendredi à samedi, n'a fait qu'aggraver la situation. La perte de cette note devrait se propager à la plupart des titres assurés par ce « monoline » et entraîner une nouvelle vague de dépréciations chez les banques qui ont ces titres en portefeuille.
« On estime à 130 milliards de dollars le montant des CDO garantis par des «monolines» dans le bilan des banques, indique un analyste. Le problème, c'est qu'on ne sait pas précisément qui est exposé, les banques françaises n'ayant révélé des expositions que nette de couverture... »
« Les investisseurs n'ont aucun chiffre précis, renchérit un autre ; ils craignent de nouvelles dépréciations d'actifs sur des portefeuilles «fantômes» ; dans ce cas, ils ne se posent pas de questions et ils vendent en bloc le secteur bancaire. »
L'attention se porte en particulier sur la Société Générale, qui a chuté de plus de 15 % au cours des deux dernières séances. « En dépit d'une exposition de 5 milliards d'euros sur un portefeuille de CDO adossé à des créances immobilières aux Etats-Unis, la Société Générale maintient un très faible niveau de provisionnement, qui contraste avec celui enregistré par les autres grandes banques mondiales, aux Etats-Unis et en Europe », rappelle Pierre Chedeville, chez CM-CIC Securities.
La banque a, jusqu'à présent, déprécié pour 230 millions d'euros d'actifs directement liés à son exposition à la crise du « subprime ». « Ce montant est incroyablement bas par rapport aux autres banques », renchérissent les analystes d'Exane BNP Paribas. Si d'autres dépréciations étaient nécessaires, les investisseurs craignent que la banque ne soit contrainte de faire appel au marché.
Les assureurs touchés
« La pression actuelle sur les «monolines» devrait se traduire par une augmentation du risque de contrepartie pour Société Générale, mais aussi pour ses homologues françaises », insistent les analystes de Citigroup. Fin décembre, Crédit Agricole SA avait dû annoncer une charge de 2,5 milliards d'euros au quatrième trimestre à cause de la déconfiture du rehausseur de crédit ACA, dont la note avait été déclassée de 12 crans. Hier, la Banque verte n'a pas souhaité apporter de commentaires supplémentaires.
BNP Paribas a fait savoir, de son côté, que l'augmentation du risque de contrepartie pourrait avoir un impact au quatrième trimestre, mais que « l'ampleur de cet impact ne méritait pas de communication particulière ». Dexia a affirmé, de son côté, ne pas avoir « d'exposition directe » à Ambac et être seulement « indirectement exposée à travers des actifs ayant une garantie financière du rehausseur de crédit américain ». Sans pour autant parvenir à rassurer les marchés.
Les assureurs n'ont pas été épargnés. AXA, notamment, a perdu 10,08 % de sa valeur, bien qu'il ait indiqué que « la crise traversée par les «monolines» n'aurait pas d'impact significatif sur ses résultats ».
GUILLAUME MAUJEAN
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