Ortega bien parti pour être président du Nicaragua

Dans le monde...

Message par Louis » 11 Nov 2006, 23:16

Ben en guise de discussion, je pense que tout le monde est a peu pret d'accord :

ortéga est trés trés loin de ce qu'il a représenté autrefois (meme si on peut etre aussi en désacord avec ce qu'il représentait autrefois...)

il arrive au pouvoir sans remetre en cause le plus petit aspect de la politique de la bourgeoisie la bas Disons qu'il a a peu pret le meme effet politique que si bayrou arrivait au pouvoir en france...

le seul "petit plaisir" qu'il peut nous fournir c'est de rendre vert de rage les ricains Mais c'est un plaisir trés trés modeste...
Louis
 
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Message par zeanticpe » 11 Nov 2006, 23:38

(Com a écrit :Je pense que l'équipe de modération connaît suffisament les participants de longue date pour savoir qu'il n'y aura pas d'excuses.

Canardos! s'excuser? :D
ben je voudrais voir ca.
quand les poules auront des dents. ;)
bon, mais on l'aime bien comme ca.
zeanticpe
 
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Message par Combat » 12 Nov 2006, 05:17

Bon voila des faits chauds sur la version anglaise de l'AP:

MANAGUA, Nicaragua - Daniel Ortega returns to Nicaragua's presidency a shadow of the fiery revolutionary who in Cold War times vowed an endless fight against a U.S. government determined to overthrow him.


Balding, weakened by heart trouble and often appearing almost docile, he now preaches reconciliation and stability, and promises to maintain close ties with the U.S. and the veterans of the Contra army it trained and armed against him.

He has traded his wartime military fatigues for a white shirt and jeans. His guide, he says, is God, not Karl Marx.

The United States and his rivals worry the Sandinista revolutionary in him will resurface, as Venezuelan President Hugo Chavez and Cuban leader Fidel Castro welcome him into a club of leftist leaders fighting American dominance in the region.

But Ortega, who was president in 1985-90, the height of the Contra insurgency, says he has traded war for peace, love and consensus.

His victory speech late Wednesday was tinged with some of his old fire. Raising his arms in victory, he led thousands in a rendition of an old revolutionary song: "The people united will never be divided."

Je traduis(approximativement) quelques passages:

"Il a remplace son uniforme militaire par un tricot blanc et des jeans. Son guide dit-il est dieu et non pas Karl Marx....Mais Ortega, qui fut president de 85 a 90, au paroxisme de l'insurrection de la contra, affirme qu'il a sublime la guerre pour la paix, l'amour et le consensus..."
Combat
 
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