a écrit :
Contacté par l'AFP, un porte-parole du Patriarcat orthodoxe à Bucarest a estimé qu'il ne pouvait pas juger cet acte, car «je ne sais pas ce que cette fille a fait».
il doit donc y avoir des circonstances où ils auraient eu raison de la crucifier?
au moyen-âge déjà, c'étaient surtout des femmes qui étaient victimes des procès en sorcellerie (même si aujourd'hui on se rappelle surtout des noms des hommes les plus connus)